Il est impossible dans un court article de décrire tout ce que je veux dire sur le bouddhisme et de décrire tous les types d’écoles et de philosophies. Mais essayons, en nous basant sur le plus important d’entre eux, de comprendre ce qu’est le bouddhisme et comment cet enseignement spirituel orthodoxe affecte la spiritualisation de la société, comment sa prise de conscience et sa responsabilité se développent.

Pour cela, nous devons parler un peu non seulement de la religion elle-même, mais aussi de la manière dont l’humanité l’a accompagnée après plusieurs milliers d’années d’existence. Nous essaierons d’être objectifs dans l’évaluation de cette doctrine.

Contexte historique

Si vous ne connaissez pas les bases du bouddhisme, vous ne pouvez pas comprendre les plus grandes civilisations orientales: l’Inde, la Chine, le Tibet, la Mongolie, qui sont littéralement saturées de sa philosophie. L’émergence de cette confession remonte au 1er millénaire avant notre ère. L’âge du bouddhisme a été déterminé en 1956, lorsque l’UNESCO a décidé de célébrer le 2500e anniversaire de cet enseignement. Symboliquement, son apparition remonte à 543 avant JC – l’année de l’entrée de Bouddha dans le parinirvana. La recherche moderne a établi que la date de la mort de Bouddha est de 486 av.

Comme d’habitude, l’origine du bouddhisme est associée au prince Siddthartha Gautama, qui a vécu dans l’abondance et la splendeur, délivré par son père de toutes les mauvaises choses. Les rencontres avec l’aîné, avec le lépreux et avec la procession funéraire sont devenues une incitation à des changements spirituels pour le fils du tsar. Ils ont informé Gautama que la vieillesse, la maladie et la mort sont le lot de l’humanité. Après cela, il rencontra un pauvre voyageur serein qui n’exigeait rien du destin. Cette leçon a profondément impressionné le prince et l’a fait réfléchir sur le sort de l’humanité. Laissant le palais en secret, il décida de poursuivre le sens de la vie et à l’âge de 29 ans, il devint ermite.

Pendant 45 ans, Bouddha a répandu sa théorie, qui était l’enseignement des quatre vérités sublimes. Ses disciples l’appelaient Bouddha, ce qui signifie «éclairé, éveillé» en sanskrit. Après sa mort, il ne resta pas un seul traité écrit. Plus tard, d’autres individus clarifiés sont apparus – les Bouddhas, qui ont contribué à la formation religieuse de la civilisation. Les adeptes de certaines écoles du bouddhisme étaient vénérés comme mentors et fondateurs d’autres enseignements.

Où et quand le bouddhisme a-t-il commencé

La date de l’origine du bouddhisme est considérée comme le moment historique du départ de Bouddha vers un autre monde. Cependant, il y a une opinion qu’il est plus correct de compter les années de vie de l’ancêtre de la religion. À savoir, la période d’illumination de Gautam Buddha.

Selon les informations officielles reconnues par l’UNESCO, le parinirvana de Bouddha a eu lieu en 544 avant JC. Il y a littéralement un demi-siècle, à savoir en 1956, le monde était illuminé par une célébration solennelle du 2500e anniversaire du bouddhisme.

La capitale du bouddhisme et d’autres pays où la religion est prêchée

Aujourd’hui, le bouddhisme est la religion d’État dans 4 pays: Laos, Bhoutan, Cambodge, Thaïlande. Mais la naissance de cette religion a eu lieu en Inde. Environ 0,7-0,8% (environ 7 millions de personnes) de la population de ce pays prêchent le bouddhisme. Ce pays merveilleux a donné au monde l’une des plus grandes religions. Par conséquent, l’Inde est à juste titre appelée la capitale du bouddhisme.

En plus de l’Inde, le bouddhisme est prêché dans des pays comme la Chine, Taiwan, la Corée du Sud, le Japon, le Sri Lanka et le Myanmar. Dans ces pays, le bouddhisme est une religion officiellement reconnue, classée 1 à 2 sur la liste. Ils prêchent le bouddhisme au Tibet, en Malaisie, à Singapour. Plus de 1% des habitants de la Russie prêchent cette religion.

La diffusion de cette croyance se développe. La raison en est la tranquillité particulière de la religion, sa couleur, sa saturation philosophique et son arrière-plan intellectuel. Beaucoup de gens trouvent du réconfort, de l’espoir, des connaissances dans le bouddhisme. Par conséquent, l’intérêt pour la religion ne se dessèche pas. Le bouddhisme se répand dans différentes parties du monde. Mais, bien sûr, l’Inde a toujours été et restera la capitale du bouddhisme mondial.

La montée du bouddhisme

De nombreuses personnes qui se sont plongées dans la connaissance du bouddhisme ou qui étudient simplement ce type de religion seront intéressées par la naissance de cette religion et par ce qui est à l’origine du développement du bouddhisme.

Le créateur de la doctrine, sur la base de laquelle la religion a été formée, est Gautama. Il est également appelé:

Bouddha est éclairé par la plus haute connaissance.
Siddhartha – a accompli son destin.
Shakyamuni est un sage de la tribu Shakya.

Et pourtant, le plus familier à une personne qui a une connaissance superficielle des fondements de cette religion, le nom du fondateur est Bouddha.

La légende de l’illumination de Bouddha

Selon la légende, un garçon inhabituel nommé Siddhartha Gautama est né d’un couple de rois indiens. Après sa conception, la reine Mahamaya a eu un rêve prophétique, qui indiquait qu’elle était destinée à donner naissance non pas à une personne ordinaire, mais à une grande personnalité qui restera dans l’histoire, illuminant ce monde avec la lumière de la connaissance. Quand le bébé est né, les nobles parents ont vu pour lui l’avenir du souverain ou de l’Éclairé.

Le père de Siddhartha, le roi Shuddhodana, a protégé le garçon des imperfections, des maladies et des malheurs du monde tout au long de son enfance et de sa jeunesse. Jusqu’à son vingt-neuvième anniversaire, le jeune Bouddha vivait dans un palais florissant, loin de la fragilité de la vie et des épreuves de la vie ordinaire. À l’âge de 29 ans, un jeune et beau prince épousa la belle Yashodhara. Le jeune couple a eu un fils glorieux et en bonne santé, Rahula. Ils vivaient heureux, mais un jour, le jeune mari et le père sont sortis des portes du palais. Là, il a trouvé des gens épuisés par la maladie, la souffrance, la pauvreté. Il a vu la mort et s’est rendu compte que la vieillesse et les maux existent. Il était bouleversé par de telles découvertes. Il a réalisé toute la futilité de l’être. Mais le désespoir n’a pas eu le temps de submerger le prince. Il a rencontré un moine détaché – Samanu. Cette rencontre était un présage! Elle a montré au futur Illuminé qu’en renonçant aux passions du monde, on peut trouver la paix et la sérénité. L’héritier du trône a quitté sa famille, a quitté la maison de son père. Il est allé à la recherche de la vérité.

Sur son chemin, Gautama a été soumis à de sévères austérités. Il a erré à la recherche de sages pour écouter leurs enseignements et leurs pensées. En conséquence, Bouddha a trouvé son moyen idéal de se débarrasser de la souffrance. Il a découvert par lui-même le «juste milieu», qui impliquait le rejet de l’ascétisme sévère et le rejet des excès excessifs.

À 35 ans, Siddhartha Gautama a atteint l’illumination et est devenu un Bouddha. À partir de ce moment-là, il a joyeusement partagé ses connaissances avec les gens. Il est retourné dans ses contrées natales, où ses proches étaient très heureux avec lui. Après avoir écouté Bouddha, la femme et le fils ont également choisi la voie du monachisme. Bouddha a trouvé la libération et la paix au début de sa neuvième décennie. Il a laissé un héritage énorme – le Dharma.

Développement de l’enseignement

Apparue dans l’Inde ancienne et se répandant dans tout l’Orient, la pensée bouddhiste a été témoin de nombreux événements tout au long de son existence et a subi diverses vicissitudes de l’histoire: l’émergence de l’hindouisme en Inde, les raids des Aryens, l’oppression des musulmans, la mise en place d’un puissant empire moghol., les temps modernes avec sa mondialisation.

Cependant, le dharma continue de se répandre dans le monde entier – il y a aujourd’hui environ 500 millions d’adhérents.

Fondamentalement, bien sûr, il s’agit du sud, sud-est de l’Asie et des régions d’Extrême-Orient: territoires thaïlandais, bhoutanais, vietnamiens, chinois (surtout tibétains), japonais, cambodgiens, lao, coréens, sri-lankais, birmans, népalais, mongols.

En Inde, berceau du bouddhisme, avec la diffusion de l’hindouisme, l’enseignement a perdu son sens – ici, il est professé par moins d’un pour cent de la population totale.

Certaines républiques nationales en Russie adhèrent également traditionnellement aux vues bouddhistes: Kalmoukie, Touva, Bouriatie, qui font partie des régions de l’Altaï. En les passant, la pensée s’enfonce de plus en plus en Occident: à Moscou, à Saint-Pétersbourg, dans les pays européens et sur le continent américain.

Vues fondamentales

Au cours de plusieurs années, observant son esprit, Bouddha a conclu que les gens eux-mêmes deviennent la source du tourment et du chagrin humains: leur passion pour la vie, la propriété et les finances, la croyance en l’inviolabilité et l’éternité de l’âme. C’était une expérience pour créer une erreur contre la mutabilité globale. La fin du tourment (entrée dans le nirvana) et de l’éveil, dans lequel la vie semble véridique et naturelle, peut être atteinte en éliminant tous les attachements et les illusions de stabilité, ce qui est facilité par l’expérience de la concentration et de la limitation, l’observance des cinq commandements.

Le Bouddha a déclaré que sa théorie n’est pas une prophétie sacrée, mais qu’elle a été acquise par lui à la suite de la méditation et de l’observation de sa propre âme et d’autres choses. La position n’est pas devenue dogmatique, prise sur la foi sans critique, et l’effet dépend de l’adepte lui-même. Le Bouddha a demandé d’accepter ses enseignements uniquement en les testant par sa propre expérience, comparant ce processus à la procédure suivie par un commerçant pour vérifier l’authenticité de l’or lors de l’achat. Il a conseillé de n’accepter sa théorie qu’après avoir été convaincu de sa fiabilité.

Au cours des 25 siècles de son existence, la philosophie bouddhiste a absorbé de nombreuses pratiques et rituels spirituels variés. Certains partisans du bouddhisme considèrent la réflexion principale sur la base de la méditation, d’autres préfèrent faire des choses utiles, et d’autres encore mettent l’accent sur le culte du Bouddha. La dissemblance des concepts et des idées des différentes écoles bouddhistes oblige à accepter comme bouddhisme tout enseignement qui devient traditionnellement bouddhiste et est basé sur les principes établis par le Bouddha lui-même. Mais l’interprétation des concepts dans différentes théories est parfois remarquablement différente. Les adhérents Theravada affirment la finalité des doctrines, et les adhérents Mahayana insistent sur leurs conventions, ils les considèrent comme une étape transitoire dans la compréhension des enseignements. La même chose pour différents enseignements est:

biographie de Shakyamuni;
acceptation du châtiment et de la transformation (samsara);
4 vérités sublimes et le chemin octuple;
théorie de l’apparition dépendante.

L’interprétation de ces composantes dans différentes écoles est également ambiguë. Certains documents du Mahayana décrivent ces éléments uniquement comme des outils habiles pour attirer l’attention sur le bouddhisme pour les personnes au potentiel spirituel ordinaire.

Principaux postulats

Les idées principales des enseignements bouddhistes se réduisent à trois concepts:

Samsara est la roue des réincarnations, une série de réincarnations, au cours desquelles les gens et tous les êtres vivants après la mort se réincarnent dans un nouveau monde, s’incarnant dans un autre corps.
Le karma est la règle de causalité. Selon lui, toutes nos actions – bonnes ou mauvaises – se refléteront dans le futur et entraîneront des conséquences. Les bonnes pensées, les actions auront des conséquences favorables. Ayant commis une atrocité, une personne ressentira certainement l’effet du karma sur elle-même. Son effet s’étend aux prochaines incarnations – si vous vous comportez avec dignité selon les normes du bouddhisme, dans une vie future, vous pourrez renaître dans des mondes supérieurs.
Le nirvana est le but de tout bouddhiste, l’état de libération de la souffrance, lorsqu’une personne parvient à s’échapper de la roue du samsara. Le Nirvana peut être atteint grâce à une croissance spirituelle constante, à la méditation, à la réflexion, en se débarrassant des attachements aux bienfaits de l’humanité.

De plus, il y a le concept de dukkha. Il est identifié à des sentiments négatifs: peur, douleur, insatisfaction, colère, anxiété, cupidité – en général, c’est la souffrance. Associées au concept de dukkha sont les quatre nobles vérités, qui sont considérées comme le fondement de la voie bouddhiste:

Il y a dukkha – la souffrance.
Toute souffrance a une cause qui s’exprime dans l’attachement, la dépendance.
Il existe un chemin qui supprime la souffrance et mène au nirvana.
Ce chemin est le chemin octuple.

Le chemin octal suppose le bon:

compréhension – conscience qu’il y a de la souffrance et de l’attachement dans la vie;
intentions – le désir de surmonter la souffrance, de s’engager sur le vrai chemin et de surmonter leurs propres vices;
parole – respect de la pureté des mots;
actions – actions qui n’apportent que du bien;
mode de vie – habitudes qui correspondent au comportement d’un bouddhiste;
effort – s’efforcer d’atteindre la vérité, semer le bien et renoncer au mal;
pensées – pureté des pensées, rejet des idées grossières, avides et lubriques;
concentration – se concentrer sur les résultats, un travail spirituel constant.

Les étapes de l’Octuple Sentier doivent être comprises non pas à leur tour, mais toutes ensemble, dans un complexe – elles sont inextricablement liées les unes aux autres et mènent à la libération.

Nous voyons que les étapes de l’Octuple Voie aident à comprendre la sagesse, à éduquer le comportement moral et à former l’esprit. Bouddha a légué qu’en respectant ces fondations, on ne devrait pas se précipiter vers les extrêmes, de l’austérité complète à une vie rassasiée de luxe, on devrait trouver un «juste milieu» – cette règle que Shakyamuni appelait la Voie du Milieu.

Il est impossible d’atteindre le nirvana sans une purification spirituelle constante, des pratiques de méditation et le respect des principaux commandements. Ces derniers prescrivent:

Ne pas nuire aux autres êtres vivants et aux actes de violence – c’est la soi-disant règle de l’ahimsa.
Ne volez pas et ne vous appropriez pas celui de quelqu’un d’autre.
Ne commettez pas d’adultère.
Ne mentez à personne.
N’utilisez pas d’alcool, de drogues et d’autres substances intoxicantes.

Les écritures de la philosophie bouddhiste sont appelées sutras. Différents sutras sont vénérés dans des directions différentes, mais l’essence du dharma est entièrement décrite dans le canon Pali, qui est appelé le Tripitaka.

Le Tripitaka se compose de plusieurs volumes:

Vinaya Pitaka – comprend les règles de conduite, la procédure de conduite des cérémonies, un ensemble de règles pour les moines;
Sutta Pitaka – transmet les principaux points des enseignements du Bouddha;
Abhidharma Pitaka – expose les textes du bouddhisme qui reflètent le concept de vie.

Quatre principes classiques

Les hypothèses du bouddhisme primitif sont extrêmement simples et basées sur quatre principes classiques:

La vie souffre;
Cette vérité explique pourquoi il y a de la souffrance – nous souffrons parce que nous la voulons nous-mêmes;
Ce principe du bouddhisme parle de s’observer pour sortir de l’emprise de la souffrance, alors que nous devons abandonner complètement nos désirs. Dans le bouddhisme, cela signifie connaître la félicité totale, la tranquillité, se débarrasser des passions mondaines, éradiquer la haine et connaître la vraie nature des choses, c’est-à-dire atteindre l’état de nirvana. Pour connaître cet état, les moines bouddhistes suivent une formation, méditent, s’engagent dans le patronage, adorent les saints et se libèrent ainsi de leur propre ego (appelé «moksha»), rejetant les désirs et les passions humains. Il y a deux voies de salut: 1) Hinayana est une voie étroite de salut, elle est réalisée dans les monastères bouddhistes, et la connaissance du nirvana vient après la mort; 2) Mahayana – un chemin large, la connaissance du nirvana se produit pendant un certain temps au cours de la vie, et après la mort, elle est réalisée pour toujours.
Cette règle est une série d’instructions sur la façon d’atteindre cet état (coïncidant en de nombreux points avec les dix commandements chrétiens). Chaque bouddhiste au cours de sa vie mondaine suit le chemin du milieu de l’existence sur le chemin de l’atteinte du nirvana – c’est l’enseignement de base du Bouddha, également appelé le chemin octuple du salut. Il est basé sur huit états:

– discours correct – s’abstenir de mensonges, de blasphèmes, de bavardages et de discours qui peuvent semer l’inimitié et conduire au mal;

– le mode de vie correct – ne pas nuire à tous les êtres vivants, gagner sa vie sans contredire les valeurs bouddhistes, mener une vie modeste, sans luxe ni autres excès;

– concentration – efforcez-vous de vous débarrasser des croyances rigides et remplissez votre esprit de pensées positives, apprenez à contempler et à apprendre la vérité;

– vue correcte – compréhension des Quatre Nobles Vérités (le Samsara souffre; la souffrance a une cause et une fin; il y a un chemin menant à la fin de la souffrance);

– faire ce qu’il faut – faire de bonnes actions, s’abstenir de vol, d’adultère et du désir de battre d’autres créatures;

– des pensées correctes – pour comprendre que tout mal vient de notre chair;

– les bonnes intentions – pour changer vos désirs et vos intentions. Remplacez la cruauté et le tort par la compassion; plaisirs sensuels – pour le dévouement à la spiritualité; colère – pour la bonne volonté.

– les bons efforts – pour chasser tout mal, accordez-vous de manière positive et essayez de toujours suivre vos pensées.

Ce sont les fondements du bouddhisme qui, au fil des siècles, se sont entièrement transformés en religion d’État, et sont également devenus un attribut intégral de la vie séculière et culturelle de toute la communauté orientale.

L’unicité du dharma

Le bouddhisme en tant que religion est unique en son genre car il présente de nombreuses différences par rapport aux autres religions. Il a absorbé les caractéristiques de la religion et de la philosophie. C’est pourquoi il est plus correct d’appeler le bouddhisme une doctrine religieuse et philosophique.

L’enseignement bouddhiste diffère des autres religions à bien des égards:

au centre n’est pas le Créateur, le Dieu Unique ou plusieurs dieux;
il n’y a pas de concept de l’univers – personne ne l’a créé et personne ne le contrôle;
le nombre de mondes est infini;
il n’y a pas de péchés et leur expiation – il n’y a que le karma, qui est considéré comme la loi de la vie;
il n’y a pas de règles dogmatiques inconditionnelles;
Bouddha a légué qu’il ne peut y avoir de foi aveugle – toutes les vérités doivent être transmises par soi-même et testées par sa propre expérience;
l’enseignement du Bouddha ne se considère pas comme le seul correct – les bouddhistes peuvent simultanément accepter une autre religion, sans violer les règles du dharma;
l’enseignement ne se débarrasse pas du «châtiment divin» qui existe dans d’autres religions – il conduit à la connaissance de sa propre nature et à son développement spirituel.

Contrairement à l’hindouisme, qui est également basé sur les lois du karma, du samsara, de la renaissance, la philosophie bouddhiste considère que toutes les personnes sont égales, quelle que soit leur position dans la société et leur origine – par opposition au varna et à la caste dans l’hindouisme.

Cependant, la philosophie bouddhiste, se répandant dans de plus en plus de pays, se déversa dans différents courants et prit des formes différentes. Chaque école a pris ses propres caractéristiques, et certains domaines sont devenus plus comme une religion, comme le bouddhisme tibétain.

Dans ce cas, Bouddha est déifié: des offrandes lui sont faites, des autels sont érigés, des statues sont fabriquées, des images ressemblent à des icônes. Un panthéon de bouddhas et de bodhisattvas apparaît – des êtres éclairés qui aident d’autres personnes à se libérer.

Il y a de plus en plus de temples, également appelés datsans, khurals, cuves, monastères. Moines en tenue spéciale, services dans les temples, vacances, méditations avec récitation de mantras, rituels – dans certaines directions, toutes les composantes du mouvement religieux peuvent être retracées. Ainsi, le bouddhisme se réfère à la philosophie et à la religion en même temps – tout dépend de l’école du dharma.

Concept de Dieu

Quelques écoles bouddhistes adorent Bouddha comme Dieu, mais d’autres adeptes des enseignements le voient comme leur fondateur, enseignant et civilisateur. Ils professent que la réalisation de l’illumination ne sera possible qu’aux dépens des ressources de l’univers. Par conséquent, le bouddhisme ne reconnaît pas un Dieu créateur, omniscient et omnipotent. Chaque personne est un élément de la divinité. Les bouddhistes n’ont pas un Dieu immuable; toute personne éclairée peut recevoir le titre de Bouddha. Ce concept de Dieu distingue cette dénomination de nombreux enseignements spirituels occidentaux.

Bouddha lui-même a nié de toutes les manières possibles l’idée de l’existence d’un créateur qui a créé la Terre et la vie sur elle. Les méditants bouddhistes croient généralement que la croyance en Dieu est un obstacle au chemin vers le nirvana.

Bien que le bouddhisme ne reconnaisse pas Dieu, les enseignements présentent des créatures qui sont à peu près proches de l’essence divine – les dévas. Mais vous ne pouvez pas les comprendre dans le même sens que les divinités des religions occidentales. Ils sont mis à l’épreuve par les chagrins et les tourments comme des personnes, en renaissance dans la roue du samsara. Bouddha devient le plus sage de la foule des divinités, il est appelé l’enseignant des dieux. Divers enseignements du bouddhisme ont des représentations qui sont assimilées à des divinités. Dieu dans les enseignements bouddhistes est appelé par différents noms:

le créateur, ou l’origine – la base de l’origine du monde et de tous les êtres vivants, qui ne peuvent être compris avec l’aide de la raison;
brahmane – un être spirituel qui se réalise après la résurrection;
idéal, identique à l’esprit absolu.

Philosophie du bouddhisme

Le bouddhisme est une auto-observation pour aller au-delà de soi-même habituel. Le «je» humain ordinaire est basé sur l’expérience passée, sur la perception réelle de ce monde, sur l’ego. Mais quand une personne s’engage dans l’auto-observation, elle remarque que «je» est une illusion et qu’aucun «je» n’existe dans le corps.

La philosophie du bouddhisme contient un concept tel que la nature illusoire de ce monde. Cette religion dit que n’importe qui peut réaliser son illusion en examinant et en examinant son corps. En l’observant, on ne trouve rien, tout ne dépend que les uns des autres dans son existence et il n’y a pas de «je» dans ce corps.

Ainsi, une personne plonge en elle-même et, comprenant différents mondes, devient convaincue de l’existence d’autres dimensions et son attachement à ce monde s’affaiblit.

Habituellement, lorsqu’une personne meurt, elle retourne à elle-même chez elle, à son Père, à Dieu, où il n’y a que l’Unité. Mais lorsqu’on lui demande s’il veut revenir à l’état de séparation, il répond qu’il veut revenir parce qu’il est attaché à l’expérience précédente. Sur la base de ce qui précède, c’est la philosophie du bouddhisme selon laquelle une personne retourne dans son labyrinthe sur Terre.

En d’autres termes, une personne s’amuse ou joue avec ces choses qui existent dans le monde humain. Après la mort d’une personne, ils demandent à nouveau s’il a suffisamment joué à ses jeux terrestres. Et il y a tellement de jouets dans le monde des gens et dont il y en a de plus en plus. Et l’enfant dit à nouveau: «Oui». Et encore errant dans le labyrinthe de la vie.

Pour comprendre ce qu’est le bouddhisme, il faut d’abord accepter le fait de l’existence du labyrinthe et de son infini. Et ce qu’il faut faire, c’est s’élever au-dessus du labyrinthe, voir vos jouets dans ce labyrinthe.

Et quand on voit que le vrai «je» est absent dans ce corps, que jouer avec des jouets apporte de la souffrance, alors le désir de posséder ces jouets disparaît et il n’y a plus besoin d’errer dans le labyrinthe. La roue de Samsara s’arrête.

Après avoir quitté le labyrinthe, une personne devient l’océan de la conscience, et l’océan est tout. Pourquoi être une petite goutte, en proie à la sécheresse et aux vents froids, alors que l’océan est toujours chaud et qu’il n’y a pas de souffrance?

Le concept de nirvana dans le bouddhisme

L’un des objectifs ultimes du bouddhisme est de retourner dans leur foyer natal, également appelé le Vide ou Nirvana. Que signifie Nirvana dans le bouddhisme? C’est le lieu de naissance de toutes choses, un lieu où règne une liberté totale, un bonheur et une félicité illimités. Le concept de nirvana dans le bouddhisme signifie un endroit où il n’y a rien à savoir, car il y a la plénitude de tout.

La réalisation du Nirvana est la clé principale, ce en quoi les bouddhistes croient et quelle est l’essence de l’enseignement. L’homme et les êtres vivants continuent de naître et de renaître dans des mondes différents, parce qu’ils s’efforcent de distinguer les objets, ce qui crée un nombre infini de mondes différents dans tout l’Univers.

Par exemple, dans le cas d’une personne, alors la personne veut savoir et elle cherche à faire la distinction entre elle-même et les autres. Alors il s’éloigne de sa Source, de l’Unité de tout ce qui existe.

Dans le bouddhisme, de nombreux pratiquants ont atteint l’état de vide ou Nirvana. Dans leurs méditations, ils sont entrés dans Samadhi, dans lequel il y a une cessation complète de la respiration et du cœur. Et c’est en Samadhi que les désirs, les expériences et la discrimination sont complètement détruits.

Lorsqu’il n’y a pas de discrimination, une personne ne naîtra plus dans aucun monde. Par conséquent, l’état de Vide n’est pas seulement un lieu où il n’y a rien, mais au contraire il y a Unité avec tout. Un lieu où le temps s’arrête et où l’espace est rempli de bonheur sans fin. Par conséquent, Bouddha a dit: “Ne me posez pas de questions sur le Nirvana, il est impossible de comprendre avec l’esprit humain.”

Le concept de nirvana dans le bouddhisme joue un rôle décisif, on pense que cet état est inhérent à chaque personne, c’est le véritable état d’une personne, que l’on appelle parfois le Vrai Soi, Atman ou Dieu.

Dans le christianisme, Dieu a un sexe «masculin», mais celui-ci est plus lié au patriarcat, avec le rôle masculin dominant dans la société. Très probablement, Dieu est la Mère ou la vacuité dans laquelle tout est né. En effet, pour que quelque chose existe, y compris Dieu, il doit y avoir un espace pour cela, et c’est le Grand Vide.

À propos du chemin bouddhiste

Le bouddhisme rassemble un grand nombre d’écoles et de traditions indépendantes différentes. Mais ils ont tous une base commune – tous les bouddhistes reconnaissent Bouddha, le Dharma (c’est-à-dire les enseignements de Bouddha) et la Sangha (communauté spirituelle des bouddhistes) comme trois valeurs religieuses fondamentales. Ce sont les soi-disant trois abris. Le sens de la pratique bouddhiste est d’atteindre l’illumination, la réalisation de la nature de Bouddha chez une personne. C’est à la lumière de ce but et pour cela que tous les rituels sont exécutés, les mantras sont récités, les méditations sont pratiquées, etc. Cependant, le bouddhisme a de nombreux visages et ses diverses dénominations diffèrent parfois considérablement les unes des autres. Par conséquent, en ce qui concerne la pratique initiale, ce qui est exigé d’un adepte du Zen japonais est très loin de ce qui est offert à un adepte du Gelugpa tibétain. Nous nous concentrerons principalement sur les traditions du bouddhisme tibétain,

Quelle est la pratique

Les adeptes du bouddhisme s’efforcent de se libérer de l’obscurcissement de l’esprit, qui déforme la vraie réalité. Ils essaient de se débarrasser des qualités négatives:

colère,
amertume,
anxiété,
horreur,
ignorance,
barbarisme,
Orgueil,
l’égocentrisme,
paresse,
méfiance,
envie,
avidité,
mécontentement.

La vertu de la doctrine est l’éducation de ses adhérents aux qualités pures et élevées:

humanité,
générosité,
Reconnaissance,
pitié,
la sympathie,
diligence,
prudence.

Ces propriétés contribuent à la maîtrise progressive de la vérité et à la purification de l’esprit, ce qui se traduit par une sensation stable de bien-être. En travaillant sur leur esprit, en le renforçant, en l’ennoblissant et en le rendant plus lumineux, les bouddhistes soulagent l’anxiété, l’irritation et le mécontentement, qui finissent par conduire au malheur, au découragement et à la dépression. C’est pourquoi le bouddhisme devient une condition indispensable à l’illumination et à la libération irrévocable de la conscience. Le bouddhisme est considéré comme une religion d’une vision du monde, pas un plan surnaturel.

Acceptation de soi du bouddhisme

Ce sujet doit être abordé, car de nombreuses personnes, ayant lu la littérature bouddhiste, décident soudainement de devenir bouddhistes et commencent immédiatement à pratiquer certaines méditations ou rituels. Cependant, pas si simple. Une personne, bien sûr, peut et doit croire de manière indépendante à la vérité des enseignements bouddhistes. Mais pour vous considérer comme un bouddhiste à part entière, c’est-à-dire un membre de la sangha, une solution simple ne suffit pas. Pour entrer dans la communauté spirituelle, il est nécessaire d’accepter les soi-disant trois joyaux. Ceci est également appelé le vœu de refuge. C’est lui qui introduit une personne au bouddhisme. Il est très important pour les débutants que la première fois que ce vœu soit prononcé par l’un des lamas serviteurs autorisés. Cela nécessite une rencontre personnelle avec le lama et la cérémonie du vœu de réfugié.

Vision claire

La pratique de base d’un bouddhiste devrait viser à développer la compétence de la vision pure. Ce dernier implique qu’une personne doit totalement et complètement demeurer dans «l’ici et maintenant», libérant son esprit de la construction de connexions spatio-temporelles. L’esprit ne doit pas se trouver quelque part à un autre moment ou penser à d’autres endroits. Il doit refléter la réalité actuelle – l’heure et le lieu où se trouve la personne au moment présent. Lorsque cette compétence se développe, la perception change, elle devient pure. C’est la première étape vers la découverte de la nature de Bouddha. L’état «ici et maintenant» est la méditation, son contenu intérieur. Ainsi, un bouddhiste, peu importe ce qu’il fait – boire du thé, nettoyer l’appartement ou préparer la nourriture, devrait s’efforcer de rester en méditation en développant un sens de «ici et maintenant».

Méditations et erreurs à la maison

Dans le bouddhisme tibétain, il existe de nombreuses techniques de méditation différentes, et certaines d’entre elles sont extrêmement difficiles et même dangereuses, et sont donc transmises secrètement. Mais les pratiques du bouddhisme pour les débutants sont généralement sûres et il est presque impossible de s’y tromper, si vous ne vous approchez pas, comme on dit, de manière «créative», c’est-à-dire en changeant la pratique, en y introduisant de nouveaux éléments et en éliminant les anciens. De plus, dans le bouddhisme, on suppose qu’un nouveau converti est engagé dans la pratique sous la direction et avec la bénédiction de son mentor, qui lui a enseigné trois réfugiés (c’est-à-dire l’a emmené dans le giron du bouddhisme et d’une école bouddhiste particulière), ainsi que des instructions sur la façon de pratiquer. Il est pratiquement impossible d’accepter le bouddhisme indépendamment sans cette cérémonie.

Types de bouddhisme

Je ne prétends pas être une exhaustivité exhaustive du récit, je ne montre que les principaux types de bouddhisme et l’immense vie culturelle qui se cache derrière l’une des religions les plus nombreuses au monde.

Theravada Hinayana. Ce type de bouddhisme a survécu en Asie du Sud et comprend l’Inde du Sud, Ceylan, Indochine. C’est la forme la plus ancienne d’enseignement bouddhiste. Des textes très anciens du canon bouddhiste ont survécu, qui contient une riche collection de commandements et de paraboles. C’est la forme la plus primitive de la religion bouddhiste et elle n’est pas répandue.

Bouddhisme chinois. Élevé en Inde, il se dirige vers la Chine, qui devient la «station relais» idéale vers tout l’Est puis vers l’Ouest. À la suite de ces métamorphoses et transformations complexes, l’école Ch’an a été créée en Chine, qui est à la base du bouddhisme zen, qui s’est répandu au Japon et en Corée. L’école a été fondée par Bodhidharma Buddha, qui est arrivé en Chine au 5ème siècle avant JC. Au fil du temps, il est devenu la forme originale la plus importante du bouddhisme chinois, qui a gagné une place de choix parmi d’autres domaines de la pensée et des croyances systémiques en Chine – le confucianisme et le taoïsme.

Bouddhisme tibétain. C’est la destination bouddhiste la plus colorée et la plus pittoresque du monde. Il se compose de deux éléments. Premièrement, la structure de la religion elle-même est le lamaïsme, un autre nom du bouddhisme actuellement utilisé au Tibet. C’est devenu la principale croyance locale – une religion pleine de fantômes, de magie et de dieux. La deuxième caractéristique du lamaïsme est très différente des autres écoles du bouddhisme – c’est la position inhabituellement forte des prêtres (lamas). Le Tibet avant l’invasion chinoise était l’État le plus théocratique du monde – un tiers de la population était des moines.

Japonais. Ce type de bouddhisme est divisé en plusieurs sectes, dont je parlerai des plus importantes par ordre chronologique. Ils proviennent de deux traditions principales – Rinzai et Soto.

Le bouddhisme Shin vient du nom d’Amida Buddha, qui règne au paradis de la «terre pure». Pour aller au paradis, un bouddhiste doit prononcer le nom d’Amida Buddha. Ce concept est largement connu tout au long de l’histoire du développement du bouddhisme en Inde et en Chine, mais seulement au Japon, le moine Honen (1133-1212) a annoncé que l’énonciation inspirée du nom de Bouddha suffit. Vous n’avez pas besoin de bonnes pensées, actions ou méditations, il vous suffit de répéter la formule de Namu Amida Butsu (d’où l’autre nom de cette secte – nembutsu) et cela peut atteindre le salut.

Le moine Sinran, qui vécut de 1173 à 1262 et fut un disciple de Honen, vint après un certain temps avec sa propre thèse originale selon laquelle l’existence même de la vie de chaque personne n’est pas donnée par le Bouddha et n’a plus besoin d’appeler son nom pour soyez sauvé et venez à la félicité et à l’harmonie éternelles

Nichiren est peut-être la version la plus controversée des enseignements du Bouddha. La secte a été fondée par Nichiren, qui a vécu de 1222 à 1282 et était un grand réformateur religieux. Les événements historiques de cette époque ont contribué à l’origine de cette tradition – le Japon était hanté par les conflits militaires et les catastrophes naturelles.

Il a utilisé ce fait pour affirmer que pour parvenir à la paix et à la tranquillité, une religion doit être créée au Japon – le bouddhisme sous une forme telle qu’il contribue à la réalisation de l’illumination. Ainsi se crée un mouvement religieux fanatique ultranationaliste, sorte de «bouddhisme national japonais».

Qu’est-ce que le bouddhisme zen ? C’est la forme la plus avancée. Rejette tout attribut religieux externe – hiérarchies et rituels, ainsi que toute aide intellectuelle qui contribue à l’illumination (sermons et livres saints de la sagesse). L’illumination vient ici et maintenant, et ce n’est que par la contemplation que la libération de l’égoïsme se produit. Cet état est atteint par zazen ou assis dans la position de la fleur de lotus, se réjouissant dans le souffle – ce sont les conditions nécessaires pour accepter la nature compatissante de Bouddha.

Rinzai Zen. Rinzai est le mouvement zen japonais le plus important, également fondé par un moine qui n’était pas très satisfait du bouddhisme japonais et a décidé de se rendre en Chine (d’où le bouddhisme est venu au Japon) pour apprendre la vraie compréhension de cette religion. Grâce à lui, les principes fondamentaux du bouddhisme (chinois Ch’an) se sont répandus dans les îles japonaises, appelées dans le nouveau dialecte Zen. C’est le début de l’une des deux principales traditions zen;

Soto Zen. Soto est une école japonaise fondée par un moine nommé Dogen, qui était un élève du révérend Rinzai et lui a pris de nombreux éléments de sa pensée. Néanmoins, comme un mentor, il s’est rendu à lui seul en Chine auprès de sources locales afin de comprendre la connaissance de la vraie dimension du bouddhisme. C’est ainsi qu’apparaît un autre type de Zen japonais, toujours populaire et pratiqué par de nombreux fans.

Bouddhisme coréen. En Corée, ce type d’enseignement a des traditions séculaires. Cependant, il y a cent ou deux cents ans, il semblait que cet enseignement avait perdu son sens. C’était jusqu’au milieu du XXe siècle. Mais à la suite de l’intérêt croissant pour le bouddhisme zen en Occident, le bouddhisme coréen connaît également un renouveau. Le meilleur exemple est l’école Zen Kwame Um.

Peut-être que les espèces présentées ici et leurs brèves descriptions ont été utiles pour ceux qui s’intéressent à cette ancienne dénomination religieuse. Je suis profondément convaincu que l’idée d’être bouddhiste est l’un des désirs humains les plus précieux, qui, d’une manière étrange, est proche de chaque personne.

Conclusion

La foi bouddhiste, comme la foi en général, donne de la force, inspire, inspire, aide à s’engager sur le vrai chemin. Nous étions heureux de vous ouvrir un peu la porte de l’âme d’un bouddhiste. Qu’il y ait de la lumière et de la paix dans votre vie!

Sources utilisées et liens utiles sur le sujet: https://avisi.ru/chto-takoe-buddizm-osnovnye-vidy-i-koncepcii-buddizma.html https://mystroimmir.ru/religiya/buddizm.html https: / / www.oum.ru/literature/buddizm/istoriya-vozniknoveniya-buddizma/ http://o-buddizme.ru/osnovy-buddizma/buddizm https://samosoverhenstvovanie.ru/chto-takoe-buddizm-i-vo- chto -veryat-buddis / https://nlo-mir.ru/religia/43051-buddizm-dlja-nachinajuschih.html http://o-buddizme.ru/osnovy-buddizma/vo-chto-veryat-buddisty

Source d’enregistrement: lastici.ru